Christopher Cook est né au pays des cowboys mais en plus, précisément dans l’état des
cowboys, comme Bush et Mel Gibson.
Il a été marqué au fer rouge de la religion, comme tous les gamins de ces familles de Rednecks peuplant ce Texas fondamentaliste et caricatural.
Sachant qu’un écrivain de ce sud-là, par essence, ne peut rarement se défaire de l’atavisme consistant à dépeindre son pays et les hommes qui y vivent, Christopher Cook a beau s’être expatrié entre le Mexique et l’Europe il ne faillit pas à la règle : il parle du Texas.
Sauf que chez Cook, les cowboys du « Lone Star State » ne ressemblent plus davantage à Davy Crockett qu’aux héros de Fort Alamo : amenés, au mieux, à finir ouvriers dans le pétrole ils sont simples, crus et vibrants de laides vérités.
Les mots terriblement précis de Cook les animent à travers des dialogues taillés au couteau directement dans le corps du texte, dans un style aussi racé qu’un Stetson.
Voilà une excellente raison de monter à l’arrière de ce pick-up XXL et de partir droit sur la piste du sublime « Langues de Feu » : claques, solitudes, ankyloses, drames et bouffage de poussière assurés.
Il a été marqué au fer rouge de la religion, comme tous les gamins de ces familles de Rednecks peuplant ce Texas fondamentaliste et caricatural.
Sachant qu’un écrivain de ce sud-là, par essence, ne peut rarement se défaire de l’atavisme consistant à dépeindre son pays et les hommes qui y vivent, Christopher Cook a beau s’être expatrié entre le Mexique et l’Europe il ne faillit pas à la règle : il parle du Texas.
Sauf que chez Cook, les cowboys du « Lone Star State » ne ressemblent plus davantage à Davy Crockett qu’aux héros de Fort Alamo : amenés, au mieux, à finir ouvriers dans le pétrole ils sont simples, crus et vibrants de laides vérités.
Les mots terriblement précis de Cook les animent à travers des dialogues taillés au couteau directement dans le corps du texte, dans un style aussi racé qu’un Stetson.
Voilà une excellente raison de monter à l’arrière de ce pick-up XXL et de partir droit sur la piste du sublime « Langues de Feu » : claques, solitudes, ankyloses, drames et bouffage de poussière assurés.
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