mercredi 28 août 2013

Si à vingt ans on est incendiaire, à quarante on est plutôt pompier...

Pompier. Sorte de mâle sportif en uniforme symbolisant l’abnégation, le sacrifice, l’humanisme et le courage héroïque.
Ou alors, qualificatif, en Art, pour ce qui relève de l’emphase, du solennel ampoulé, bref, de descendances immodestes d’un romantisme qui se serait débarrassé de son drame existentialiste pour ne conserver de la tragédie qu’une extravagance théâtrale de mauvais goût.
Et bien, curieusement, je n’ai jamais pu blairer les premiers (les costauds rudes mais sympas dans leur camion rouge) et j’ai une certaine faiblesse pour les seconds, tout au moins en peinture.